Accusations de plagiat à Harvard: la controverse autour de Claudine Gay

Des accusations de plagiat suscitent la controverse à Harvard

La première présidente noire de l’université Harvard, Claudine Gay, est au cœur d’une polémique concernant des accusations de plagiat dans ses travaux académiques. Les conservateurs américains voient en cette affaire le symbole de la dérive woke des universités américaines, où l’obsession de la race prend le pas sur l’excellence académique. Ces accusations ont également suscité des réactions négatives de la part de certains donateurs, comme le milliardaire Leonard Blavatnik qui a suspendu ses dons à l’école.

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Les répercussions de la controverse

Les allégations de plagiat à l’encontre de Claudine Gay ont également entraîné des réactions de la part des législateurs et d’experts de droite, remettant en question sa légitimité en tant que présidente de Harvard. Même l’ancien président américain Barack Obama a pris fait et cause pour elle, après son témoignage controversé sur l’antisémitisme. Pourtant, la présidente de Harvard continue de faire l’objet de vives critiques, notamment concernant sa gestion des débordements antisémites sur les campus de l’université.

Des appels à la démission et des soutiens inébranlables

Malgré les nombreuses critiques et les appels à sa démission, Claudine Gay a été soutenue à l’unanimité par le conseil d’administration de Harvard. Cependant, les attaques à l’encontre de sa conduite et de son intégrité intellectuelle mettent en lumière les profondes fractures au sein de l’université, ainsi que les tensions liées à la guerre Israël-Hamas, qui ont exacerbé les critiques et les exigences de transparence et d’exemplarité de la part de ses dirigeants.

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